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Aujourd’hui je vous écris un article un peu différent puisque je vais vous parler d’une publication de mon travail dans la presse, et pas n’importe laquelle ! Le superbe magazine mindstyle HAPPINEZ a récemment dédié un espace pour parler de mon travail de portraits sauvages dans le numéro 57 (mai-juin 2021). Je rêvais depuis des années devant les belles images qui illustrent ses pages, si j’avais su à l’époque qu’un jour l’une des miennes y figurerait j’en aurai certainement douté !
Cet article, nommé « PORTRAITS SACRÉS », aborde le travail et l’intention portés aux séances de portraits sauvages. Ces séances ont vu le jour en 2019 et je suis remplie de gratitude de sillonner les routes de France et du monde pour honorer ces femmes qui font un pas vers elles-mêmes.
J’adresse un grand merci à l’équipe adorable et enthousiaste avec laquelle j’ai échangé pour la conception de l’article, je suis fière de voir mon travail mis à l’honneur et d’être entrée dans la famille HAPPINEZ, c’est une belle reconnaissance pour moi. Je suis très heureuse d’accueillir toutes les personnes qui sont arrivées par là, bienvenue à vous tous.tes !
J’ai une une pensée tendre et spéciale pour Camille Sfez qui a plusieurs fois semé de sa magie sur mon chemin et pour mes soeurcières Womoon pour qui j’ai réalisé le reportage d’une retraite de femmes en Auvergne en octobre 2020 et duquel cette photo est tirée.
L’article :
« Avant tout une grande rêveuse qui aime rire, divaguer, chanter et partager, Hélène Halgand nourrit une fascination pour les mouvements intimes qui animent et relient les êtres humains. Elle reste convaincue que chaque histoire renferme une essence unique, puissante et exaltante qui mérite de marquer le monde de son empreinte. Photographe, elle a conçu ses séances de Portraits sauvages comme une bulle de lâcher-pris dédiée à toute femme qui souhaiterait explorer sa nature sacrée et dans laquelle elle pourrait prendre plaisir à redevenir elle-même. Chaque séance est un acte d’amour, une descente en soi, une invitation à aller toucher sa terre intérieure, un retour au corps et aux éléments. Portée par le besoin ardent de photographier ce qui vit, Hélène s’illumine profondément à l’idée de célébrer la beauté et la puissance d’une femme dans tout ce qu’elle a de plus vrai, de plus brut. Après deux ans passés à cheminer d’un bout à l’autre du pays pour rencontrer ces femmes, elle prend conscience de la portée de ces explorations intimes qui va bien au-delà de ce qu’elle avait imaginé. D’après chacune d’elles, les Portraits sauvages se révèlent d’un immense soutien dans le processus de guérison de leur féminin. »